Télématin chez PLACE TO BE MEDIA pour la sortie du prochain James Bond

A l’occasion de la sortie du très attendu « Mourir peut attendre » le dernier James Bond pour l’iconique acteur anglais Daniel Craig, Thomas Hervé, journaliste et chroniqueur chez télé-matin est venu interroger Jean-Dominique Bourgeois dans les locaux de PLACE TO BE MEDIA !

Après tout, James Bond et le placement de produit, c’est une histoire qui dure depuis des décennies. Jean-Dominique Bourgeois insiste bien sur ce point « James Bond est une vitrine sur le placement de produit ». Les marques sont conscientes de l’impact de cette figure incontournable du cinéma et sont prêtes à capitaliser abondamment pour mettre en avant leurs produits. On pense notamment au placement d’une marque de bière dans l’un des opus de la saga Craig alors même que l’image de James Bond est associée avant tout aux alcools luxueux tels que le champagne ou le Martini Dry et vodka ; c’est dire l’impact des marques sur des séquences entières des fictions du plus célèbre des agents secrets.

La raison principale de cette interview était avant tout d’éclairer les téléspectateurs sur les difficultés du report des films ayant subis de plein fouet la pandémie mondiale depuis bientôt deux ans. Ce James Bond devait sortir en Avril 2020, soit durant la période du premier confinement. Jean-Dominique Bourgeois explique bien la complexité de cette situation qui peut potentiellement rendre caduques des contrats signés et finalisés avec les marques. L’intérêt premier étant de mettre en avant des produits de derniers cris, des placements filmés il y a plus de 3 ans s’opposent au désir premier des marques : faire la promotion de leurs dernières créations.

Il n’y a hélas pas beaucoup de solutions pour remédier à ce problème d’obsolescence des produits comme l’explique le directeur de PLACE TO BE MEDIA : retourner les séquences mais cela induit des coûts conséquents ou bien modifier les produits en post-production… Le problème dans un film d’action comme « Mourir peut attendre », c’est que les séquences de cascades en voitures ne peuvent être modifiées, ce qui rend cet exercice particulièrement délicat.

D’ici là, « Mourir peut attendre » sort le 6 octobre 2021 dans nos salles et il n’y a aucun doute là-dessus, les placements de produits y seront bien présents !